Publié le 8 Août 2012

 

 

 

 

 

Devant son souvenir

Ta splendeur

Ta majesté et les rigueurs du temps

Les cœurs se sont brisés

Libérant des prières sur le monde

 

Comme les oiseaux des sacrifices

En nos vies si nous écoutons

Perçu l’écho de ses murs

De l’Occident vers l’Orient

Au nord et au sud

Bénédictions

 

Mais n’avons entendu le chant des Léviim

Que dans ta ville d’or

Car tu es le portique

Par lequel pourrait entrer le ciel

Nous vivants

Et s’élever Son univers entier

 

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Rédigé par C. Mazières

Publié dans #Poésie, #poèmes, #Temple

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